Experts en : Épidémiologie de terrain (gestion des éclosions)
KAISER, David
Professeur adjoint de clinique
- Pratique de la santé publique
- Surveillance
- Santé publique
- Santé communautaire
- Salubrité publique
- Risque sanitaire
- Qualité de l'air intérieur
- Action politique
- Déterminants de santé
- Environnement
- Épidémiologie de terrain (gestion des éclosions)
- Épidémiologie environnementale
- Études évaluatives
- Gestion du risque
- Intersectorialité
- Canada (Québec)
Je suis médecin spécialiste en Santé publique et médecine préventive à la Direction régionale de santé publique de Montréal. Je travaille sur différents dossiers en lien avec l'environnement urbain et la santé, dont le logement, le bruit environnemental et la chaleur extrême. Je suis directeur du programme de résidence en Santé publique et médecine préventive à l'Université McGill et professeur adjoint de clinique au Département de médecine sociale et préventive de l'ESPUM et au Département d'épidémiologie, biostatistiques et santé au travail de l'Université McGill.
LE GUERRIER, Paul
Professeur agrégé de clinique
ZINSZER, Kate
Professeure agrégée
- Épidémiologie
- Santé mondiale
- Évaluation des interventions populationnelles
- Santé publique
- Surveillance
- Méthodes quantitatives
- Méthodes de recherche
- Changements climatiques
- Épidémiologie environnementale
- Systèmes d'information
- Épidémiologie de terrain (gestion des éclosions)
- Essai clinique randomisé
- Géographie médicale
- Pratique de la santé publique
- Études de cohorte
- Études longitudinales
- Études évaluatives
- COVID-19
- COVID19
- Canada
- Afrique subsaharienne
- Amérique du Sud
Mes recherches portent sur le paludisme, les arbovirus (dengue, chikungunya, zika) et, plus récemment, la maladie de Lyme. Mon intérêt porte particulièrement sur l’utilisation de diverses sources de données pour mieux comprendre le profil épidémiologique des maladies en identifiant les zones à risque / à haut risque et les principaux facteurs de risque de maladie au niveau populationnel. Je possède une grande expérience dans l'utilisation des données cliniques, de surveillance et de télédétection pour conduire différents types d’analyses et contribuer également à répondre aux préoccupations relatives à l'harmonisation des données fragmentées ou en silo provenant de diverses sources.
1. Évaluation des interventions à grande échelle des maladies à transmission vectorielles
Je participe à l’évaluation de l’efficacité de plusieurs programmes d’interventions antipaludiques à grande échelle dont notamment la pulvérisation intradomiciliaire d'insecticides et l’utilisation universelle de moustiquaires imprégnés d’insecticides en Uganda. En partenariat avec plusieurs collaborateurs, j’évalue présentement une méthode de contrôle d’arbovirus fondée par une approche de mobilisation communautaire à Fortaleza au Brésil.
2. Prévision des maladies infectieuses et modélisation spatio-temporelle
Je m’intéresse à l’application de méthodes de prévisions et l’utilisation de flux de données pour estimer les fardeaux de maladies, et plus récemment à l’exploration des méthodes d’apprentissage automatique. J’utilise aussi des méthodes spatio-temporelles pour comprendre les patrons d’émergences des maladies et de leurs déterminants, ainsi que d’identifier les régions et les périodes de temps à risques.
3. Estimation de l’impact des changements climatiques sur les maladies à transmission vectorielle
Les changements climatiques auront d’importantes répercussions sur l’épidémiologie des maladies à transmission vectorielle. En considérant différents scénarios et en employant une variété de méthodes, nous pouvons estimer les fardeaux qu’auront ces changements. Nous envisageons également dans nos recherches tous scénarios avec des changements sociodémographiques et l’usage de programmes d’intervention.
4. Amélioration de la surveillance des maladies
Je suis actuellement impliquée dans plusieurs programmes de surveillance du paludisme qui visent à rassembler des bases de données fragmentaires en vue de les harmoniser. Nous évaluons présentement les biais retrouvés dans les cas déclarés d’arbovirus par le système de surveillance nationale de la Colombie.