Un établissement de pointe en recherche en santé publique
L’École de santé publique de l'Université de Montréal (ESPUM) est la quatrième faculté de l’Université de Montréal en ce qui a trait aux activités de recherche. Avec l'un des plus grands regroupement de chercheurs et chercheuses en santé publique, l'ESPUM se positionne comme l'un des plus grands pôles de recherche en santé publique au monde, ce dans de nombreux domaines de spécialisation.
Avec plus d'une douzaine de chaires de recherche dirigées par ses professeur(e)s, son lien avec le Centre de Recherche en santé publique (anciennement IRSPUM) comme le pôle de recherche principal de l’ESPUM, et son affiliation à quatre centres de recherche et de nombreux milieux de pratiques, notre établissement propose un cadre de recherche et d'études unique dans toute la francophonie.
Les centres de recherche affiliés
Nos chercheurs sont affiliés à plusieurs centres de recherche parmi lesquels se trouvent :
- le CReSP - Centre de Recherche en Santé Publique, dont sont membres la plupart de nos chercheurs ;
- le Centre de recherche du CHUM (CRCHUM) ;
- le Centre de recherche du CHU Sainte-Justine ;
- le Centre de recherche Léa-Roback.
Ils œuvrent aussi au sein de nombreux réseaux et milieux de pratique qui s’attachent à produire et à utiliser des connaissances de pointe en santé publique.
Nos chercheurs en action
Les travaux de nos chercheurs nourrissent les réflexions des décideurs des systèmes de santé au Québec et dans le monde.
Ils participent à des comités dirigés par des instances provinciales, nationales ou internationales, comme l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), responsables de définir les politiques de santé ou les grandes orientations de la recherche en santé publique.
De prestigieuses reconnaissances
Les chaires dont nos chercheurs sont titulaires témoignent de l’excellence de notre recherche dans les domaines de la santé des populations, de l’innovation, de la santé mondiale, de la santé environnementale et de la santé au travail.
Notre École compte aussi parmi ses chercheurs plusieurs membres de la Société royale du Canada.