Apparu dans les années 50, le terme "santé positive" a été régulièrement rejeté et réintroduit, en raison du manque de consensus autour de sa signification et sa conception, malgré l'intérêt suscité. Aussi, une définition, un modèle et des indicateurs communs de la santé positive contribueraient à une meilleure compréhension et à une utilisation plus large du terme, favorisant ainsi le développement de l'approche de la santé positive en santé publique.
Dans leur étude faisant l'objet d'un article dans la revue Global Health Promotion, l'étudiante au doctorat en promotion de la santé Yuliya Legkaya Bodryzlova et le professeur Grégory Moullec du Département de médecine sociale et préventive on procédé à une revue systématique de ses définitions et proposent plusieurs pistes pour contribuer à l'affinement du vocabulaire salutogène.