L’étudiante Sarah Tabbal du laboratoire du professeur Haddad et d’autres membres du DSEST ont publié dans la revue Chemosphere une étude sur le développement d’une nouvelle méthode GC-MS/MS couplé à la microextraction en phase solide dans l’espace de tête (HS-SPME) pour quantifier 21 composés organiques volatils d’origine microbienne (mVOC) dans l'urine et le sang. Cette nouvelle méthode d'analyse s'est avérée précise et exacte et a une sensibilité élevée avec de faibles limites de détection (ng/L). Par conséquent, cette méthode a le potentiel d'être utilisée comme biomarqueurs d'exposition aux moisissures intérieures.