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/ École de santé publique

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Microprogramme en santé mondiale

La mortalité maternelle et infantile, les épidémies comme le virus Ebola, le VIH/sida, le double fardeau nutritionnel, l’équité et l’accès aux soins figurent parmi les nombreux sujets sur lesquels interviennent les spécialistes et chercheurs en santé mondiale. Le microprogramme en santé mondiale permet de se familiariser avec les concepts, les enjeux et les défis éthiques engendrés par les interventions en santé mondiale.

À qui s'adresse ce programme ?

Ce programme s’adresse aux diplômés du premier cycle de différents domaines ainsi qu’aux professionnels en emploi. Il convient également aux étudiants de doctorat dans un domaine autre que la santé publique qui souhaitent développer une expertise en santé mondiale.

 

Des formations complémentaires et « gigognes »

Si vous n’êtes pas certain de vouloir vous lancer dans une maitrise, procédez par étape avec nos programmes « gigognes » ! Commencez par un programme court comme un microprogramme ou un DESS puis intégrez la maîtrise ; les crédits obtenus seront transférés. Les cours crédités dans une formation constituent une passerelle d’une formation à une autre, pour un cheminement adapté à votre rythme. Renseignez-vous, des conditions s'appliquent.

Les avantages d’étudier la santé mondiale à l’UdeM

  • Suivez une formation de pointe dans le domaine de la santé mondiale;
  • Profitez de plus de 25 ans d’expertise en coopération internationale avec l’Unité de santé internationale (USI), pôle universitaire francophone canadien dédié à l’expertise en santé mondiale;
  • Faites partie d’une communauté en santé mondiale très active offrant un espace de rassemblement et d’échange entre étudiants et étudiantes;
  • Bénéficiez de liens privilégiés avec l’un des plus grands regroupements de spécialistes en santé publique au monde;
  • Collaborez avec plusieurs centres de recherche réputés et centres hospitaliers affiliés.

 

CRÉDITS : 15 crédits

Responsable du programme :

Béatrice Godard, professeure titulaire au Département de médecine sociale et préventive.