Cette étude a porté sur près de 600 enfants canadiens et a montré que l’exposition prénatale à certains pesticides est associée à des déficits neurodéveloppementaux. En effet, les femmes enceintes qui avaient des concentrations plus élevées de métabolites de pesticides organophosphorés ont donné naissance à des enfants dont le QI était plus faible, surtout chez les garçons. L’étude peut être trouvée ici : https://authors.elsevier.com/a/1bava3Ao5vLlO