Les applications de rencontre jouent un rôle central dans la recherche de partenaires pour de nombreux hommes gays, bisexuels, transgenres ou queer. Bien que ces applications soient de plus en plus nombreuses, il reste une lacune importante dans la littérature sur leurs risques en matière de santé sexuelle et mentale en raison d'expériences négatives de discrimination, de racisme, de harcèlement, de coercition sexuelle et de "catfishing".
L'étude présentée dans cette publication signée par Maxim Gaudette, étudiant au doctorat en santé publique option promotion de la santé sous la direction d'Olivier Ferlatte (professeur adjoint, Département de médecine sociale et préventive) qui cosigne également l'article avec Rod Knight (professeur adjoint, DMSP) et Tara Chanady (stagiaire postdoctorale), a pour objectif d'explorer les perceptions des professionnels de la santé sur les effets de ces applications de rencontre sur les jeunes hommes gays, bisexuels, trans et queer (YGBTQM).