Un diagnostic rapide est essentiel pour freiner les chaînes de transmission, mais plusieurs chercheurs ont sonné l’alarme quant aux iniquités en terme de délais entre le dépistage et l’obtention du diagnostic entre les groupes de la population. En effet, l’étude a démontré lors de la première vague, une association entre le délai et le niveau d’éducation, le type de logement et la distance des cliniques et des hôpitaux publics. Ceci renforce l’importance de services de santé publics universels afin de protéger les groupes désavantagés des ravages de la pandémie. Lors de la deuxième vague, ces iniquités ont été réduites grâce au renforcement des mesures de surveillance instaurées par le gouvernement.
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