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Vardit Ravitsky publie un article sur les tests prénataux non invasifs et la perception des risques

Les dernières recherches menées par Vardit Ravitsky et Alessandro Marcon montrent à quel point l'utilisation de ce test par le public peut être complexe, et les discussions en ligne montrent que la perception des risques est très personnelle.

Dans un nombre croissant de grossesses, les gens ont recours à une technologie émergente appelée test prénatal non invasif (NIPT) - ou NIPS (S pour screening) - qui analyse de minuscules fragments d'ADN provenant du placenta et circulant dans le sang maternel pour évaluer le risque que le fœtus soit atteint de certaines maladies génétiques. Le test n'est pas invasif pour le fœtus, mais il implique une prise d'échantillon de sang de la mère.

Malheureusement, la plupart des gens ont du mal à évaluer les risques avec précision. Ces difficultés découlent de la qualité des informations qui circulent, mais aussi des préjugés qui entravent une réflexion saine. De plus, tout le monde n'est pas d'accord sur les risques liés à la grossesse, et on a beaucoup écrit sur la surmédicalisation de la grossesse qui peut générer des inquiétudes excessives et des tests inutiles.

Dans cet article publié dans la revue The Conversation, la bioéthicienne et professeure de l'ESPUM Vardit Ravitsky et Alessandro Marcon (University of Alberta) reviennent sur les récentes études qu'il ont entrepris sur les discussions en ligne autour de ces tests prénataux non-invasifs.

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