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Un article dirigé par Marie-Catherine Gagnon-Dufresne et signé par plusieurs membre de l'ESPUM publié dans BMC Public Health

L'article porte sur les inégalités sociales de santé dans le dépistage à grande échelle de la COVID-19 à Montréal.

Marie-Catherine Gagnon-Dufresne, étudiant au doctorat en santé publique, option santé mondiale.

Les preuves continuent de démontrer que certaines populations marginalisées sont touchées de manière disproportionnée par la COVID-19. Bien que de nombreuses études documentent les impacts du COVID-19 sur les inégalités sociales en matière de santé, aucune n'a examiné comment les réponses de santé publique à la pandémie se sont mises en place et ont abordé ces inégalités au Canada.

L'étude parue dans la revue BMC Public Health, a pour objectif d'évaluer comment les inégalités sociales en matière de santé ont été prises en compte dans la conception et la planification des programmes de dépistage à grande échelle du COVID-19 à Montréal (Québec, Canada).

Cette publication est signée par Marie-Catherine Gagnon Dufresne, candidate au doctorat en santé publique à l'École de santé publique de l'Université de Montréal ainsi que par Lara Gautier (professeure adjointe, DGEPS), Camille Beaujoin (étudiante au doctorat en santé publique de l'ESPUM, option santé mondiale), Ashley Savard-Lamothe (assistante de recherche, diplômée de la Maîtrise en santé publique option santé mondiale), Rachel Mikanagu (diplômée de la Maîtrise en santé publique option santé mondiale), Patrick Cloos (Professeur agrégé, DMSP), Valéry Ridde (Université de Paris) et Kate Zinszer (professeure adjointe, DMSP).

Cliquez ici pour consulter l'article complet.