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Les jeunes, les inégalités sociales et la pandémie de COVID-19

La professeure Katherine Frohlich et la chercheuse postdoctorale Jennifer Thompson proposent une optique interdisciplinaire à l'intersection de la santé et de l'éducation pour analyser l'expérience inéquitable de la pandémie du COVID-19.

Kate Frohlich, professeure titulaire, Département de médecine sociale et préventive.

La pandémie de COVID-19 a provoqué en 2020 et 2021 une période de profonde incertitude et entraîné des bouleversements rapides dans la vie sociale des québécois de tous âges, et notamment chez les jeunes chez qui les effets des confinements sur la santé mentale et physique, ainsi que les défis qu'ils posaient pour l'apprentissage, ont été une source importante de préoccupation. Les mesures de santé publique mises en place par le gouvernement n'ont ainsi pas été vécues de la même manière par tous les groupes sociaux.

Dans l'article intitulé "“It reflects the society in which we live, except now everything is accentuated”: youth, social inequities, and the COVID-19 pandemic" publié dans la revue Canadian Journal of Public Health, l'équipe de recherche composée entre autre de la professeure Katherine Frohlich du Département de médecine sociale et préventive et de la chercheuse postdoctorale Jennifer Thompson adopte une optique interdisciplinaire à l'intersection de la santé et de l'éducation et utilise la théorie du mode de vie de Max Weber pour analyser l'expérience inéquitable de la pandémie du COVID-19.

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