Denis Bégin, Caroline Couture, Michel Gérin et Maximilien Debia signent cette nouvelle publication qui porte sur les solvants verts et les risques à la santé associés à leur utilisation.
Cette étude a permis de classer les solvants verts en catégories, d’après l’origine de leurs matières premières, comme les glucides et les lipides. Elle a aussi permis de décrire d’autres classes de solvants verts, comme les solvants eutectiques profonds (liquides obtenus en mélangeant des substances solides), les liquides ioniques (sels organiques fondus), les solvants commutables (résultant du bullage de gaz carbonique dans un liquide comme l’eau), l’eau et le dioxyde de carbone supercritiques. Elle traite également des certifications environnementales sous forme d’étiquettes, qui assurent l’impartialité dans l’évaluation des préparations commerciales contenant des solvants tout en garantissant des critères minimaux à satisfaire. La recherche a aussi identifié les lois et règlements portant sur les substances chimiques en milieu de travail, qui favorisent la substitution des solvants classiques par des solutions de rechange plus vertes.
Information tirée du site web de l'IRSST