Université de Montréal / École de santé publique

J’ai présenté ma candidature au doctorat à l’École de santé publique de Montréal, après avoir terminé ma maîtrise à la même institution. Mon directeur m’a soutenu tout au long de mon parcours, et cela a été pour moi un encouragement pour mener à bien ma thèse en toxicocinétique des médicaments.

Plusieurs facteurs m’ont motivé à prendre la décision de m’inscrire au programme de doctorat. J’en énumère quelques-uns : la multitude de plateformes, la nouvelle technologie et les équipements de pointe en toxicologie et en hygiène industrielle qui se trouvent dans les laboratoires du département de santé environnementale et santé au travail. Les cours en toxicologie et en santé publique que j’ai suivis, étaient tous intéressants. Les jeunes chercheur(e)s ou professionnel(le)s qui suivront ces cours seront outillés pour défendre toutes les causes de santé environnementale et publique, ainsi que de mettre à jour leurs connaissances dans le domaine de la santé. Dans notre département, c’est de la théorie, mais surtout de la pratique ! Grâce à ma formation, je maîtrise aujourd’hui plusieurs appareillages et logiciels (e.g., perfusion, analyse d’échantillons, modélisation, etc.) et j’ai acquis des notions en éthique sur l’utilisation des animaux et des cellules au laboratoire.

Pendant mon parcours académique et de recherche, j’ai eu l’occasion de suivre des cours et des conférences organisés et présentés par des chercheurs chevronnés venus du Québec, du Canada, et d’un peu partout dans le monde. Par ailleurs, l’école offre aussi des classes de maîtres auxquelles les doctorant(e)s peuvent participer. Il existe une gamme de services offerts sur le campus dont les étudiants peuvent aussi se réjouir.

J’aimerais ajouter que j’ai eu le grand plaisir de faire la connaissance de personnes absolument formidables parmi mes collègues et mes professeur(e)s, de différentes disciplines. Le monde d’aujourd’hui dépend énormément de leurs compétences, savoir, humilité et ouverture d’esprit. Grâce à mon expérience à l’école de santé publique de Montréal, j’ai appris comment jouer mon rôle de jeune chercheur et de bon citoyen, en posant les bonnes questions de recherche et en menant les combats pour une vie écologique et la santé publique.

Montréal, cette ville si charmante qui a beaucoup à offrir, est aujourd’hui le pôle de foisonnement des jeunes chercheurs en santé publique. C’est une école qui rassemble des gens des quatre coins du monde ! Un grand merci à tout son personnel administratif et professoral, pour son dévouement et son professionnalisme.