Le Département de mathématiques et de statistique et l’École de santé publique de l’Université de Montréal se sont associés pour créer une option en biostatistique à la maîtrise en statistique. Cette option permet l’application de méthodes statistiques dans des secteurs comme la médecine, l’épidémiologie, l’environnement, la pharmaceutique et la santé publique.
«Étant donné la pénurie de main-d’œuvre spécialisée en biostatistique, les diplômés dans le domaine ont d’excellentes perspectives d’emploi, que ce soit au Québec ou ailleurs dans le monde. Ils peuvent prétendre à de belles carrières dès leur entrée sur le marché de l’emploi. C’est une tendance qui s’amplifie depuis 30 ans», indique le professeur Pierre Duchesne, responsable du programme d’études.
L’option en biostatistique de la maîtrise en statistique s’adresse aux personnes possédant une formation de premier cycle avec des bases solides en statistique. Les candidats peuvent venir d’un large éventail de disciplines comme les sciences, les sciences de la santé, les sciences biomédicales, la démographie ou la psychologie.