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Plusieurs professeur(e)s de l'ESPUM dans les médias pour réagir au plan de réforme du système de santé annoncé cette semaine par le gouvernement du Québec

Parmi les professeurs de l'ESPUM ayant réagit dans les médias : Roxane Borgès Da Silva, Réjean Hébert, Régis Blais et Olivier Jacques

Le ministre de la santé et des services sociaux, M. Christian Dubé, a présenté cette semaine un grand plan de réforme du système de santé qui, avec la fragilisation du système de santé accrue notamment par la crise de la COVID-19, était largement attendu tant par les spécialistes et les professionnel(le)s de santé que par la population québécoise.

En leurs qualités d'experts et d'expertes des questions de politique, gestion et évaluation des systèmes de santé, plusieurs professeurs de l'École de santé publique de l'Université de Montréal et notamment du Département de gestion, d’évaluation et de politique de santé (DGEPS) ont été invités à prendre la parole dans les médias pour apporter leurs éclairages sur ces annonces.

La professeure et directrice du DGEPS Roxane Borgès Da Silva était interrogée par Radio Canada dans un article intitulé "Réforme de la santé : le ministre Dubé a-t-il les moyens de ses ambitions?" et revenait sur la mise en place d’outils de mesure et d’indicateurs qui pourrait aider le ministre à avoir plus de succès.

Le professeur titulaire au DGEPS Réjean Hébert, a quant à lui été l'invité de Mario Dumont sur TVA pour proposer une analyse des grands points proposés par cette réforme.

Olivier Jacques, professeur adjoint au DGEPS et spécialiste de l’économie politique des politiques publiques au Canada et en Europe et notamment du financement des systèmes de santé, a écrit en réaction à cette annonce une lettre d'opinion dans le journal Le Devoir intitulée "Le privé en santé, l’éléphant dans la pièce".

Régis Blais, professeur titulaire au DGEPS et spécialiste de l'utilisation optimale des services de santé et des médicaments, était interrogé par RDI sur la comparaison du système de santé québécois et norvégien, qui brille par un service de santé d'excellence qui permet à ses utilisateurs un très grand accès à de la médecine de famille. Le député Monsef Derraji et porte-parole du PLQ en matière de santé et récemment diplômé du doctorat en santé publique de l'ESPUM était également invité à réagir sur cette comparaison.