Passer au contenu

/ École de santé publique

Je donne

Rechercher

Navigation secondaire

Une étude sur la prise en compte des inégalités sociales dans une intervention de recherche des contacts pour la COVID-19 à Montréal signée par plusieurs membres de l'ESPUM

Camille Beaujoin, Lara Gautier, Marie-Catherine Gagnon-Dufresne, Rachel Mikanagu, Ashley Savard-Lamothe, Patrick Cloos, Valéry Ridde et Kate Zinszer signent cet article publié dans le Canadian Journal of Public Health.

Depuis le début de la pandémie de COVID-19, la recherche et le suivi des cas contacts est la pierre angulaire des programmes de prévention et de contrôle de la maladie. En parallèle, de nombreuses études ont démontré que les inégalités sociales de santé ont été exacerbées par la crise sanitaire. Ces inégalités ont-elles été prises en compte dans la conception et la planification des interventions de recherche des contacts?

C'est à cette question que souhaitait répondre l'équipe de recherche composée de plusieurs étudiants, étudiantes et professeures, à travers une étude qualitative descriptive menée à Montréal, sur la base d’un cadre conceptuel « bricolage » décrivant la prise en compte des ISS dans la conception des interventions et des politiques.

Cette étude intitulée "“It felt like building a plane while in flight”: the consideration of social inequalities in the design and planning of a contact-tracing intervention for COVID-19 in Montreal, Quebec" est signée par Camille Beaujoin, Marie-Catherine Gagnon-Dufresne, Rachel Mikanagu,  Ashley Savard-Lamothe, ainsi que Patrick Cloos (professeur agrégé, École de travail social et Département de médecine sociale et préventive), Lara Gautier (professeure adjointe, Département de gestion, d’évaluation et de politique de santé), Kate Zinszer (professeure agrégé, Département de médecine sociale et préventive) et Valéry Ridde (Centre Population et Développement, Institut de Recherche pour le Développement, Université de Paris).

Lire la publication complète.